Enfin, non, plus maintenant...snif...

(post perso, je préviens)

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Ben ouais, c'est pas pareil que d'être un homme

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Z'avez remarqué que depuis quelques billets, je m'amuse à ajouter "loué soit son nom" ou "paix sur son âme" dès que j'écris "femme". D'un coté, c'est une plaisanterie anodine, la sacralisation de la femme en tant que "beau sexe" me saoule et c'est ma manière d'y répondre... Parce homme ou femme, l'individu peut être méchant et/ou violent...

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Pourquoi je trouve que les idées des Chiennes de Garde sont à gerber ?

Facile ! Il suffit de les lire !

Allez, on s'assied et on s'accroche.. Le lien que je donne ici renvoie sur le forum des cdg, sur un fil Parole d'escort girl où une abolitionniste poste le mail qu'elle a reçu qu'une escort canadienne. Au début, je voulais réagir à tous les posts, mais je les trouve tellement méprisants que je préfère ne pas les citer.

On en discute dans les commentaires.

Prêts ? Partez !

Ca veut dire quoi ? Légalement parlant...

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Nos supers technocrates, ont organisé une miniconférence pour dénoncer la propagation de la pornographie... A quand la chasse aux sorcières ? (enfin, là ce sera plutôt la chasse aux sorciers, car dans leurs têtes de linottes nos bureaucrottes n'imaginent pas qu'une femme, loué soit son nom, puisse être cliente de l'industrie porno, non, la femme, paix sur son nom, est une victime).

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Je lis souvent que les prostitué(e)s sont forcément des victimes, qu'ils (elles) n'ont pas le choix de se prostituer, que bien souvent ils (elles) ont été victimes de violence étant jeunes, que leurs conditions de travail sont immondes, qu'il est quasiment impossible d'en sortir etc...
Les quelques lignes qui suivent sont le reflet de ma propre expérience (contrairement à certaines féministes, notamment les abolitionnistes, qui n'hésitent pas à parler au nom des autres) ni vérité ni simple hypothèse, une "tranche de vie" quoi, très personnelle.

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Josiane Balasko a publié un premier roman "Cliente", adaptation d'un scénario destiné à l'origine aux petits et grands écrans.
"Cliente" ne sortira pas sur vos écrans, la chaines de télé l'ont refusé ainsi que des producteurs. Faut dire que le sujet remue : une femme qui s'offre les services d'un prostitué...

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J'adore cette chanson de Tragédie, elle me fait bien triper.
A lire les paroles, je me dis que les féministes doivent pas aimer, imaginez, un gars qui dit "danse pour moi, sexy pour moi, bouge tes hanches" ça doit être un affreux mâle dominant...

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J'ai été bien étonnée de lire il y a peu ce commentaire sur la Page Libérale suite à un article de Christophe sur le port du voile...

J'y ai réfléchi après coup...

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Certaines féministes vous diront que la prostitution volontaire n'existe pas, Gaby prouve le contraire et défend sa profession.

J’assume tout. Pute je le serais toujours, dans ma tête, dans ma façon d’être, d’agir et de penser.

Gabrielle Partenza, dans un tourbillon d’anecdotes, de scènes de vie et de rue et surtout d’idées… non reçues, confie qu’elle a choisi librement de se prostituer pendant trente ans.
Gaby affirme avec conviction que tous les chemins mènent au tapin. Les putes sont d’une utilité publique non reconnue. Ce sont de vrais médecins du travail et une prothèse charnelle pour tous les délaissés de notre société...
Mais son métier est désormais en péril : la prostitution "artisanale", libre et indépendante, subit la concurrence des réseaux de trafiquants exploitant filles de l’Est et d’Afrique. Loin de lutter contre cette véritable traite d'esclaves, les lois récentes détruisent une tradition socio-culturelle séculaire, qui s'était transformée en service d'utilité publique.

A bientôt dans la rubrique "lecture"